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Pas de pitié pour Sturgeon dans ses derniers FMQ alors que les tissus ne parviennent pas à passer l’arrière-ban

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Malheureusement pour Mme Sturgeon, ses adversaires n’étaient pas prêts à lui donner une conduite facile lors de sa dernière sortie à Holyrood.

Douglas Ross, le chef des conservateurs écossais, a lancé son premier crochet du gauche en ouvrant la séance de questions.

M. Ross s’est concentré sur le récent scandale des membres du SNP, dans lequel le mari de Mme Sturgeon et le chef de la presse du parti ont été contraints de démissionner après qu’il est apparu que le public avait été induit en erreur sur les chiffres des membres du parti.

Il a demandé: “Pourquoi le parti de Nicola Sturgeon – le parti du gouvernement dans ce parlement – a-t-il menti à la presse et au public?”

Mme Sturgeon a forcé un sourire aussi convaincant que les démentis initiaux du SNP selon lesquels ils avaient perdu 30 000 membres, disant hautainement à la salle “Je n’ai rien à ajouter à ce que j’ai déjà dit.”

Il est immédiatement devenu évident qu’elle avait en fait beaucoup à ajouter à ce qu’elle avait déjà dit.

Nicola Sturgeon essuie une larme (plan large)

Mark François répond ici à VOS questions et jure de se battre pour protéger les lecteurs de l’Express

Mark François, vice-président du comité restreint de la défense, s’est engagé à défendre les intérêts des “lecteurs de l’Express qui paient des impôts”, s’engageant à réparer les achats de défense.

Les lecteurs du Daily Express ont posé un certain nombre de questions au député de Rayleigh et Wickford, dont l’une a vu M. François dire que le Royaume-Uni devait “absolument” réformer la manière dont il dépense son argent pour la défense.

Lisez les réponses à vos questions ICI.

Elle a poursuivi : “Le SNP reste le seul parti à adhésion massive dans ce pays – applaudissements – nous avons de loin plus de membres que tout autre parti représenté dans cette chambre”.

Mme Sturgeon a exigé qu’avant de poser d’autres questions, M. Ross clarifie le nombre de membres conservateurs écossais.

Les MSP SNP ont tellement apprécié ce jibe qu’ils ont refusé d’arrêter d’applaudir jusqu’à ce que le président de séance intervienne, peut-être dans l’espoir qu’ils pourraient continuer à applaudir pendant les 55 minutes restantes de la session et éviter à leur chef sortant le mal de tête d’avoir à faire face à d’autres questions.

Une deuxième question sur l’état du SNP et son concours de leadership autodestructeur a incité Mme Sturgeon, peut-être pour la première fois de sa carrière, à attaquer M. Ross pour ne pas avoir posé de questions sur «le service national de santé, ou l’éducation, ou l’économie ou la justice climatique ».

M. Ross, souriant comme un chat du Cheshire, a chahuté “J’y reviendrai!”

Douglas Ross interroge Sturgeon

Sturgeon arrive pour les derniers FMQ

C’est le dirigeant travailliste Anas Sarwar qui a amené le débat sur des questions qui pourraient réellement intéresser les Écossais, demandant à Nicola Sturgeon de résumer “lequel des nombreux échecs de son gouvernement le Premier ministre pense-t-il que son successeur doit résoudre en premier”.

Mme Sturgeon a commencé, “Eh bien avec le plus grand respect, Anas Sarwar a tout simplement tort”, son expression furieuse trahissant qu’elle ne voulait aucun respect.

La première ministre a ensuite sorti une affirmation si étonnante qu’elle espérait vraisemblablement confondre la chambre dans un silence étourdi permanent.

Elle a dit : « Je veux dire, regardons d’abord certaines des institutions qui n’existaient même pas lorsque je suis devenue Premier ministre : Revenue Scotland par exemple… Social Security Scotland… La Scottish National Investment Bank… Le NHS… »

Pour un gouvernement apparemment déterminé à paralyser les services de santé, revendiquer le mérite du NHS – lancé 22 ans avant la naissance de Nicola Sturgeon – était une affirmation audacieuse.

Si elle était une politicienne de Westminster, Harriet Harman aurait sans aucun doute déjà lancé une enquête complète sur sa tromperie de la Chambre.

Ne manquez pas…

Sturgeon range ses papiers

Une demi-heure plus tard, nous sommes arrivés à l’essentiel de la séance de questions – le dernier adieu de Nicola Sturgeon.

Il y avait des larmes, des craquements de voix, un sentiment de soulagement – à la fois de Mme Sturgeon et des MSP de l’opposition, des seaux de réflexion teintée de rose et de l’optimisme pour l’avenir – encore une fois de la part de Mme Sturgeon et des MSP de l’opposition.

Pour ceux qui regardent la diffusion en direct des FMQ, l’émotion et l’émotion de l’adieu final s’effondrent à chaque fois que les caméras se dirigent vers la galerie publique, où une classe d’écoliers écossais n’a pas réussi à dissimuler son ennui total pendant tout l’événement.

Une fille est apparue pour se curer le nez, un garçon à capuche s’est assis plié en deux, le visage sur ses genoux, une autre fille a regardé le plafond comme si elle demandait une intervention divine pour l’amener à la cantine parlementaire dès que possible.

Mme Sturgeon a terminé son discours en disant: “Ce fut vraiment le privilège de ma vie, et avec ces mots, monsieur le président, je le termine.”

Elle a essuyé une larme, a reçu une ovation debout prolongée de ses MSP d’arrière-ban et les écoliers ennuyés ont été filmés partant enfin pour prendre leur déjeuner.

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