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Macron panique en admettant le ” déclin français ” dans sa tentative de ” reconquête ” du monde contre les Anglais.

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Avec 321 millions de locuteurs, le français est la cinquième langue la plus parlée au monde. Mais, encore souvent associé à la colonisation au Maghreb ou en Afrique sub-saharienne, il est en déclin constant.

Face à ce constat, Emmanuel Macron dit regretter une perte d’influence dans le monde : “Il faut être lucide. Dans les pays du Maghreb, on parle moins français qu’il y a vingt ou trente ans. C’est une réalité. La francophonie a un peu reculé.”

La place du français dans le monde a effectivement décliné, et a progressivement cédé la place à l’anglais et surtout à d’autres influences, notamment le russe. Face à un “retour des impérialismes” ou à une “partition du monde”, que le dirigeant français dit “redouter”, M. Macron dit vouloir refaire du français une langue universelle de paix et de démocratie.

Il a déclaré : “La langue française est celle qui permet de créer l’unité, d’Haïti au continent africain en passant par une partie du continent sud-américain, l’Asie du Sud-Est et le Pacifique”.

TUNISIE-FRANCOPHONIE-SOMMET

Des fans de la Coupe du Monde bouillonnent dans des logements insupportables avec de l’eau courante marron.

Les fans de football qui affluent au Qatar pour la Coupe du monde sont furieux d’avoir dépensé des centaines de livres sterling par nuit pour loger dans des tentes faites de “plastique épais” qui rendent l’intérieur “insupportable”.

Un homme était tellement furieux de l’état de l’hébergement qu’il a décidé de partir après seulement quelques jours dans le camp, bien qu’il ait payé plus de 3 000 £ pour y séjourner.

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“C’est à la fois un espace de résistance et de reconquête. Ce mot a parfois été mal utilisé par d’autres, mais c’est une ambition portée et un chemin qui doit se poursuivre.”

La maîtrise du français est appelée à devenir une condition d’attribution des titres de séjour, dans la perspective du futur projet de loi sur l’immigration.

Mais le président français a annoncé en 2014 qu’il voulait faire de la France “La Start-up Nation”, en utilisant le franglais pour séduire davantage de jeunes électeurs.

Le ministre des Finances de l’époque ne savait pas qu’il déclencherait quelques années plus tard une guerre entre les universitaires de langue française et l’utilisation de mots anglais dans la politique quotidienne.

Plus tôt cette année, le président Macron a été critiqué par l’Académie française, les gardiens de la langue française, pour l’utilisation de l’anglais sur les cartes d’identité françaises émises depuis août 2021.

En février, l’Académie a critiqué le dirigeant français, et ceux qui lui ressemblent, pour l’utilisation persistante du “charabia” anglais en politique.

Hélène Carrère d’Encausse, la grande aristocrate de 92 ans qui a été la secrétaire perpétuelle de l’Académie pendant trois décennies, a déclaré : “Les gens ne comprennent pas pourquoi ils doivent subir ce charabia à la place du français”.

“C’est la preuve d’un clivage entre une frange élitiste qui prétend représenter la ‘nation start-up’, et le reste de la société.”

La carte d’identité biométrique, introduite en août 2021, contient une puce électronique et un code QR. Mais ce qui a vraiment fait reculer la vénérable académie, c’est que chaque catégorie a été traduite en anglais, de sorte qu’elle est inondée de mots comme “nom”, “prénom”, “date de naissance”, “nationalité”, “lieu de naissance”, “date de délivrance”, etc.

L’Académie dénonce une violation de la loi Toubon de 1994, qui a fait du français la langue des documents administratifs, ainsi que de l’article 2 de la Constitution française, qui stipule que “le français est la langue de la République”.

Pour la première fois en 400 ans d’histoire, l’académie a demandé au Premier ministre d’intervenir, menaçant également de porter l’affaire devant le Conseil d’État français, qui traite des questions constitutionnelles.

Mme Carrère d’Encausse a déclaré au Figaro en janvier que, normalement, l’organe devrait publier une simple déclaration sur la question.

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