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L’enquête sur le Partygate de Boris est désormais reportée à 2023, les députés faisant traîner l’enquête sur l’ex-PM.

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L’ancien Premier ministre Boris Johnson sera appelé à témoigner lors des séances d’audition.

Mais des sources ont déclaré au Guardian que les sessions pourraient être repoussées jusqu’après Noël, un retard qui a été attribué au Cabinet Office qui s’entête.

Il a été accusé de prendre plus de quatre mois pour fournir des informations clés après qu’un “gros morceau” de documents ait été remis à la commission vendredi dernier.

Les documents, initialement demandés en juillet, incluraient les agendas de M. Johnson, des invitations par courriel à des événements, des journaux d’entrée au No 10, des documents d’information et des messages WhatsApp.

Mais des initiés du gouvernement ont déclaré au Guardian qu’il n’y avait pas de date fixe à laquelle ils étaient obligés de répondre aux demandes ad hoc d’informations ou de documents émanant d’une commission spéciale.

La commission des privilèges a déclaré qu’elle se réunissait chaque semaine depuis le mois de juin pour “établir des processus, collecter et analyser les preuves”.

Un porte-parole a déclaré : “La commission est en conversation permanente avec le gouvernement afin d’obtenir des preuves pour l’enquête.

“Elle a demandé des documents au gouvernement en juillet, qui lui ont été fournis dans leur intégralité vendredi dernier”.

Boris Johnson

Rishi Sunak

Le porte-parole a ajouté que les députés sont “engagés à faire progresser l’enquête rapidement”.

Au début du mois, un porte-parole du Premier ministre actuel, Rishi Sunak, a déclaré : “Nous continuons à prendre au sérieux notre responsabilité d’assister la commission”.

“Nous sommes en correspondance avec eux directement et répondons à leurs lettres, à leurs demandes. Cela va continuer.”

Harriet Harman

Il est peu probable que M. Sunak lui-même se présente devant la commission, présidée par la députée travailliste Harriet Harman, selon une source proche des six députés qui y siègent.

Ils ont ajouté qu’il pourrait ne pas être en mesure de fournir des preuves sur les actes répréhensibles présumés de M. Johnson.

Si M. Johnson est reconnu coupable d’outrage à la Chambre des communes, la commission pourrait recommander qu’il soit suspendu du Parlement pendant 10 jours.

Cette sanction déclencherait une pétition de rappel dans sa circonscription, ce qui pourrait entraîner une élection partielle.

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