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Le Frexiteer est “certain” que le conflit sur la pêche serait résolu rapidement si la France sortait de l’UE.

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M. Gallois s’est insurgé : ” Macron, c’est la représentation de l’UE en France ! “.

“Il ne blâmera pas du tout l’UE ! Il fait de la politique en blâmant le Royaume-Uni”.

Il a poursuivi en disant comment le président Macron se comporte également de cette manière car il “veut montrer les muscles” pour les prochaines élections françaises au printemps 2022.

Le Frexiteer a également suggéré que l’UE et son rôle dans la conclusion de l’accord de pêche post-Brexit, qui a provoqué des divisions latentes, sont à la base du conflit sur la pêche et du comportement du président Macron.

Cornelis Gert Jan

Mais il a insisté sur le fait que cela ne se produirait pas si la France sortait elle-même de l’UE.

Il a expliqué : “Je suis tout à fait sûr que si nous sortions de l’Union européenne, nous pourrions avoir un bien meilleur accord relationnel entre le Royaume-Uni et la France.”

M. Gallois a déclaré que cela serait dû au fait que le Royaume-Uni et la France ont des intérêts communs en matière de pêche, qu’ils travailleraient ensemble, sans l’interférence de l’UE et des intérêts propres du bloc, pour construire une meilleure relation de travail.

Ces commentaires font suite à des mois de chaos dans les eaux britanniques à la suite d’un accord post-Brexit qui stipule que les Français doivent demander de nouvelles licences pour pouvoir continuer à pêcher dans les eaux britanniques. zone de 6 à 12 milles nautiques des eaux britanniques.

Emmanuel Macron

Mais un carnage s’est produit après que le Royaume-Uni a déclaré qu’il avait approuvé seulement 12 des 47 demandes qu’il avait reçues de petits bateaux en France, ce qui a mis les Français dans une colère noire. Le chaos a poussé le président français Jean Castex à menacer même le Royaume-Uni en coupant les “collaborations bi-latérales” sur le commerce, l’immigration et la migration.

La Grande-Bretagne a nié qu’elle n’avait pas joué franc jeu, tandis que les organismes britanniques d’octroi de licences de pêche ont riposté en affirmant qu’un grand nombre de bateaux de pêche français n’avaient pas soumis correctement les preuves requises pour prouver qu’ils avaient pêché dans les eaux britanniques avant le Brexit.

Les plans avaient déjà incité les pêcheurs français à bloquer le port de Jersey en mai dernier pour protester contre cette décision.

Mais les tensions ont atteint un point de rupture mercredi soir après que les autorités françaises aient saisi le navire écossais Cornelis Gert Jan, appartenant à MacDuff Shellfish of Scotland, au large du Havre, affirmant que le bateau n’a pas respecté les règles après avoir été averti.

Les pays de l'UE les plus dépendants des eaux britanniques

Le secrétaire d’État à l’environnement, George Eustice, a lancé un avertissement sévère au président Macron après la saisie du bateau par la France : “Nous ne savons pas ce qu’ils vont faire, ils ont dit qu’ils n’introduiraient pas ces mesures avant mardi probablement au plus tôt, donc nous verrons ce qu’ils feront”.

“Mais s’ils les mettent en place, eh bien, on peut être deux à jouer à ce jeu et nous nous réservons la possibilité de répondre de manière proportionnée !”.

Cette déclaration intervient alors que le ministre français de l’Europe, Clément Beaune, avait récemment promis d’utiliser le langage de la “force” à l’égard de la Grande-Bretagne dans le cadre du conflit sur la pêche.

Il a déclaré : “Nous devons parler le langage de la force car je crains que ce soit la seule chose que ce gouvernement britannique comprendra”.

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